La 53e édition de La Solitaire du Figaro, qui s’est terminée le 11 septembre à Saint-Nazaire, a été l’occasion pour le groupe Paprec d’étrenner ses galons de Partenaire Principal de l’événement. Premier bilan avec le directeur de la communication, Régis Faour.
Comment avez-vous vécu cette 53e Solitaire en tant que Partenaire Principal ?
C’était une très belle première expérience. Notre objectif était d’activer le partenariat auprès de toutes nos équipes commerciales, et particulièrement celles de l’ouest de la France, pour faire venir nos clients sur l’événement, nous avons aussi souhaité qu’un maximum de collaborateurs viennent sur les villages de la course. C’était pour nous l’occasion de faire découvrir La Solitaire du Figaro au plus grand nombre, de partager des moments avec nos clients et nos collaborateurs dans un univers que nous adorons, accessible à tous, et, pourquoi pas, de déclencher chez eux des passions, des envies. Le tout dans des endroits, Nantes, Royan, l’environnement proche de Port-la-Forêt, Saint-Nazaire, dans lesquels le groupe est fortement implanté. Jean-Luc Petithuguenin (fondateur du groupe) est venu à Royan, Sébastien Petithuguenin (directeur général) à Port-la-Forêt, tous les deux ont été très satisfaits, Sébastien a forcément eu un petit pincement au cœur, il aurait bien aimé être sur un des bateaux pour revivre son expérience de 2018 (il avait participé à la Solitaire). En moyenne, nous avons reçu une vingtaine d’invités par jour dans l’espace partenaires de la Solitaire, l’occasion de beaux moments d’échange, nous leur avons aussi fait visiter les pontons, organisé des rencontres avec les skippers…
Oui, l’autre aspect important que nous voulions mettre en avant était la rencontre avec le grand public. Nous sommes certes une marque plutôt BtoB, mais notre objectif est de la faire connaître au plus grand nombre, d’acquérir encore plus de notoriété auprès du grand public. C’est pourquoi nous avons voulu ce stand ludique, destiné notamment aux familles, qui proposait deux animations : la première permettait de visiter des installations de tri et de recyclage avec des casques de réalité virtuelle et une table tactile, la seconde proposait un jeu de « super trieur » qui était l’occasion, seul ou à quatre, de jauger sa capacité de tri, l’objectif étant de mettre les bons déchets dans les bonnes poubelles. Ça a beaucoup plu au jeune public.
Avez-vous déjà des pistes d’amélioration pour la 54e édition ?
Oui, on a pu identifier des pistes pour activer davantage le partenariat l’année prochaine, pour faire venir plus de monde. Nous souhaitons notamment animer davantage le réseau interne en communiquant plus sur la course, via des affiches, des jeux-concours, des vidéos. Mais pour une première, le bilan est satisfaisant, nous avons vécu de belles escales et des moments de sport très forts, avec un très beau podium à l’arrivée. Surtout, nous sommes ravis de voir deux femmes terminer dans le Top 10 (Elodie Bonafous 8e et Violette Dorange 10e), ça fait parfaitement le lien avec ce que nous voulons mettre en place sur la prochaine course dont nous sommes partenaire titre, la Transat Paprec (départ le 30 avril 2023), puisque pour la première fois, elle se courra en double mixte.
